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    avr

    Alstom pourrait être partagé entre Général Electric et Siemens

    Les évènements se précipitent pour sauver ce qui peut l’être d’Alstom. Général Electric qui n’est pas intéressé par le volet ferroviaire pourrait trouver une synergie avec Siemens qui lui, pourrait fédérer l’activité ferroviaire. Cultiver une image laissant miroiter qu’Alstom est à la pointe de la technologie au point de faire [...] considérer l’entreprise comme un fleuron Français de l’industrie ne peut masquer les retards et faiblesses accumulés par Alstom en particulier sur le marché ferroviaire. Le protectionnisme bienveillant du marché français qui accepte de recevoir des matériels TGV dépassés à un prix dissuasif n’aura pu masquer cette réalité. En ce qui concerne le TGV, il faut rappeler que ce matériel est issu des bureaux d’études de la SNCF dans les années 80. Alstom n’a pas trouvé à financer la structure relai qui aurait pu maintenir ce train à la pointe de la technologie. Siemens en s’invitant autour de la table cherche plus à trouver une dimension critique dans le ferroviaire européen qu’à acquérir des technologies dont il dispose déjà et qu’il a faite évoluer vers des trains à grande vitesse de nouvelle génération… Cependant si le partage s’effectuait suivant une telle répartition et que l'opération GE/Alstom aboutissait, elle serait un coup dur pour Siemens qui ferait face à un concurrent dans des domaines d'activité primordiaux (équipements électriques, turbines, lignes à haute tension...). Pour boucler le panorama, Siemens qui ne dispose pas des moyens financiers de contrer Général Electric se voit contraint, au mieux, de composer et d’essayer de trouver un accord avec Général Electric qui est maître du jeu. Maintenant que les négociations sont lancées, il est évident qu’Alstom ne pèse plus dans ce débat. La politique stratégique de la France non plus. La leçon à en tirer : Rien ne sert de contrarier le marché, il faut parfois savoir se retirer. Dans ce cas d’espèce ce sera après avoir appauvri en vain : La France, la SNCF, la RATP et les collectivités…pour rien.
    L'entreprise allemande Siemens prête à discuter avec Alstom
    Le PDG de General Electric se rend dimanche à Paris pour des discussions en vue de l'acquisition de la division énergie d'Alstom. L'offre de Siemens pourrait retarder l'issue finale de ce dossier.
    France tv info avec AFP - Mis à jour le 27/04/2014 | 09:59 , publié le 26/04/2014 | 18:45
    La bataille fait rage autour du fleuron industriel français, Alstom. Le groupe industriel allemand Siemens a annoncé dimanche 27 avril avoir adressé une lettre au conseil d'administration d'Alstom pour lui signifier qu'il est prêt "à discuter de futures opportunités stratégiques". Une démarche en concurrence directe avec les négociations déjà en cours avec l'Américain General Electric pour un éventuel rachat de la branche énergie d'Alstom. Le PDG de General Electric est d'ailleurs attendu dimanche à Paris pour des discussions en vue de l'acquisition de la division énergie d'Alstom. Siemens, lui, n'évoque pas directement une offre de rachat, mais sa démarche pourrait retarder l'issue finale de ce dossier.
    Une transaction à 10 milliards d'euros
    L'opération vise l'achat des actifs du groupe français liés à l'énergie (équipements pour centrales thermiques, lignes à haute tension, énergies renouvelables, soit les divisions "Power" et "Grid"). Elles représentent plus de 70% de l'activité d'Alstom et un chiffre d'affaires de 14 milliards d'euros. La transaction est estimée à quelque 10 milliards d'euros, selon la presse.
    Bien que l'Etat ne soit plus actionnaire de l'entreprise depuis 2006, le ministre de l'Economie Arnaud Montebourg s'est invité dans le dossier, recevant toutes les parties au nom de la nécessité de prémunir la France du risque de perdre un centre de décision et d'éventuels emplois. Le gouvernement entend obtenir des garanties sur trois points "l'emploi, la localisation des activités et l'indépendance énergétique", a-t-on indiqué dans l'entourage de François Hollande.
    "Un bain de sang social"
    En raison de la similitude des deux entreprises, une éventuelle fusion entre Alstom et Siemens pourrait causer de nombreuses suppressions de postes en raison des milliers de doublons. "Un vrai bain de sang social", confie au JDD un connaisseur du dossier. De toute manière, les deux groupes européens se détestent et un mariage est tout sauf acquis. Le PDG d'Alstom Patrick Kron ne voudrait pas de ce projet.
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    Catégorie : Coup de gueule | Origine de l'article : intermodalite.com

Robert & Gilles CLARACO Fondateurs du portail de l’intermodalité intermodalite.com