Bienvenue sur le site intermodalite.com. Afin de faciliter vos recherches, nous avons classé les commentaires par catégories « derniers commentaires » et « derniers sujets commentés ». Vous pouvez réagir instantanément en déposant un commentaire & appliquer une notation à l’article.

Commentaires, réactions & échanges

  1. 06
    janv

    Coovia, la start-up qui facilite les déplacements à Toulouse

    Note 2.84/5 (188 votes)
    Posté par intermodalite.com, 06-01-2014 à 17:29 | Commenter | nb:2 nombre de commentaires
    Coovia, la start-up qui facilite les déplacements à Toulouse

    COOVIA est un assembleur d’opportunités qui compose avec la multimodalité en banalisant le maillon covoiturage. Cette importante avancée démarque COOVIA des offres de covoiturages ordinaires en utilisant toutes les possibilités disponibles sur un périmètre de déplacement. COOVIA propose instantanément la meilleure solution de transport pour un trajet individuel [...] et optimise le positionnement des covoiturés dans un tissu organisé qui permet à la fois d’affiner les possibilités d’accéder à la destination finale sans contraindre le conducteur à des parcours parasites. Fini la fastidieuse organisation du covoiturage, partez à la dernière minute. Pour parvenir à ce résultat COOVIA mixe en temps-réel les solutions de covoiturage et de transport publics. Cette innovation nous a permis à COOVIA de remporter le Grand-Prix Défi Numérique Toulouse-Métropole. Essayer l’application est le début d’un gain de temps et d’argent. COOVIA propose depuis son site un accès aux applications qui permettent de manière très ergonomique de choisir la composition de ses déplacements.
    http://www.coovia.fr/Site
    La Start-Up toulousaine Coovia s’apprête à réinventer le covoiturage grâce à un concept novateur.
    Le covoiturage est une chose qui peut ne pas fonctionner au quotidien en raison de la flexibilité des horaires de travail et des perturbations de dernière minute. Partant de ce constat le créateur de COOVIA a tenté d’offrir une solution aux usagers du covoiturage avec une application web. Disponible sur l’Istore et Android la version 2.0 de l’application COOVIA prend en compte de nouvelles données s’ajoutant à celle du covoiturage. Les transports en commun se mêlent au covoiturage avec Coovia qui permettra de se déplacer plus simplement dans l’agglomération. Les horaires et trajets de bus ainsi que les vélotoulouse disponibles à proximité feront partis de la base de données en temps réel, de plus l’application offre la possibilité de localiser les utilisateurs à la sortie de leur travail pour envisager un covoiturage. L’application offre donc la possibilité à chacun d’effectuer ses transports quotidiens grâce aux services disponibles quel qu’ils soient.
    http://www.claraco.com | EN SAVOIR PLUS | LIRE L'ARTICLE | RETOUR

    Catégorie : Transport voyageur | Origine de l'article : intermodalite.com
    Article labellisé Article labellisé
  1. commentaire Posté par xgzbwWLck4KH, 02-06-2014 à 20h24

    The major cities and towns in Denmark and the Netherlands were laid out long beorfe the rise of automobiles. The layout of the central areas Copenhagen, Amsterdam and other major cities and towns goes back to medieval times. They were designed for walking and horse-drawn vehicles, so they tend to be compact. That makes it easy to adapt them for biking. American towns and cities just aren't like that. They were built in the age of the car. The only way to make them conducive to biking would be to tear them down and rebuild them from scratch at dramatically higher density. That's never going to happen. And our extreme climate is another reason why biking will never be more than a niche market here. Ever ridden a bike in a Chicago winter or a Phoenix summer?And no, cycling and transit aren't necessarily slower than driving. They're slower for the vast majority of trips. Transit and cycling have a role in our national transportation system, but it is a very, very small one.

  2. commentaire Posté par Emile Borne, 12-01-2014 à 21h22

    La start-up toulousaine Coovia s’apprête à lancer la deuxième version de son application pour se déplacer dans l’agglomération. Le concept allie covoiturage, transports en commun et vélos.

    «Nous avons inventé un nouveau mot, le’’commutage’’. Mélange de l’anglais commuting, terme utilisé pour les trajets réguliers, et de covoiturage. Le commutage doit permettre l’utilisation de tous les sièges vides autour de soi, y compris les selles de vélos ». En créant Coovia il y a deux ans, David Larcher a voulu toucher tous ceux qui, comme lui, avaient déjà pensé au covoiturage mais avaient laissé l’idée sur le bord de la route : mes horaires ne sont pas classiques, je ne suis pas sûr de quitter le travail à heure fixe… «Nous ne sommes pas des militants. Certains ne partageront jamais leur voiture. Mais nous pouvons convaincre ceux qui hésitent en leur donnant les moyens de le faire : si le covoiturage ne fonctionne pas ou est annulé, c’est rassurant de savoir qu’il existe d’autres solutions, qu’un bus peut être là dans quinze minutes», explique cet ancien d’Airbus, âgé de 32 ans, qui travaille aujourd’hui avec trois autres personnes.

    L’application, disponible sur IPhone et Android, permet, grâce à un système de détection intelligente, de savoir quand l’utilisateur de Coovia quitte son travail ou son domicile pour proposer des covoiturages en temps réel. Les données libérées par le site Open data de Toulouse Métropole mentionnent le passage du prochain bus, à la minute près, et le nombre de VélôToulouse disponibles à la station voisine. «Même si nous ciblons le covoiturage, nous déroulons le trajet du début à la fin, en naviguant notamment jusqu’au point de rencontre. Et nous étudions avec Tisséo la possibilité d’utiliser les arrêts de bus comme arrêts minute pour le covoiturage», espère David Larcher.

    Coovia compte aujourd’hui 1 600 inscrits. «Pas assez pour justifier notre valeur ajoutée », souffle le concepteur qui compte sur sa version 2 pour lancer l’opération Tournefeuille fin janvier. «C’est dans cette commune et sur le site Airbus que le potentiel de covoiturage est le plus grand et que l’offre de transports en commun est peu utilisée. Mieux vaut miser sur 100 sièges vides dans une zone bien définie et dense que sur 1 000 dans toute l’agglomération. Il est aussi prouvé que les gens sont plus favorables au covoiturage quand c’est entre collègues » conclut David Larcher.

    www.coovia.fr

Robert & Gilles CLARACO Fondateurs du portail de l’intermodalité intermodalite.com