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02
août
Associer le train, la convivialité et l’escapade, le tout assorti de tarifs sociaux ou du nouveau Tikémouv de Midi-Pyrénées est une solution adaptée à tous pour découvrir les altitudes des Pyrénées sans se ruiner. Ce billet ne se veut qu’un bol d’air estival meublé par de petites propositions qui pourront vous inciter à découvrir les [...] Pyrénées au travers de la modeste intermodalité qu’offre le métro des Pyrénées. La ligne Toulouse - Puigcerdá donne accès à un carrefour des plus intéressants ou en Cerdagne se rejoignent Andorre, Espagne et France. Ce billet léger, ouvre à une joyeuse multimodalité. Cette multimodalité permet un accès à Andorre mais sans abuser des tolérances douanières. Par précaution, consultez le site de la Douane Française :
http://www.douane.gouv.fr/page.asp?id=20
Les michelines du Conseil Régional Midi-Pyrénées permettent une correspondance TER en gare d’Andorre l’Hospitalet
Dont la gare a fait l’objet d’une rénovation partiellement financée par la Principauté d’Andorre.
C’est un célèbre apéritif anisé qui a valu à cette ligne TER son surnom de « Train du Jaune ». Il est dommage que cette dominante ait pris le pas sur les escapades offertes au sommet de la ligne. Ce TER en effet vous dépose aux pieds de randonnées multiples et de tous les niveaux. En été, atteindre les lacs d’altitude après une marche modérée permet de mettre l’eau à la température qu’il faut dans le jaune. Des rencontres faunistiques et une flore exceptionnelle sont autant d’émerveillements. Surtout la quiétude du voyage ferroviaire offre une grande sécurité et dispense des bouchons routiers souvent très désagréables en pleine chaleur. C’est donc un voyage d’agrément pour les lèves tôt qui conserve sa fraicheur.
La Catalogne et la Cerdagne offrent aussi des attraits touristiques ferroviaires tels le Train Jaune qui lui est un vrai train jaune ou encore le train à crémaillère de Nuria qui sont tous deux une évasion incomparable dans la nature Pyrénéenne. Et là s’il vous prend d’acheter quelques souvenirs, c’est l’Europe. Et pour le retour, pas de soucis, le train prend en charge fêtards et randonneurs fourbus.
Changer de train à Latour de Carol, c’est aussi accéder à Barcelone à des tarifs de transports Espagnols normaux pour lesquels Tikémouv ne peut même pas rivaliser. http://www.claraco.com | EN SAVOIR PLUS | LIRE L'ARTICLE
29
juil
VILVOORDE - Avec cette péniche de 35 mètres affrétée par Brussels By Water, on peut désormais prendre le bateau à la place du métro. Le Waterbus, inauguré ce vendredi, usera le canal tout l’été, de Bruxelles à Vilvorde. Il est tout confort. Mais pas pressé…
L’ambition du Waterbus est à nouveau de désengorger la capitale : alternative [...] à la voiture, la navette joint le centre de Bruxelles à Vilvorde, sur un trajet de 10 kilomètres, en parsemant la croisière de sept arrêts stratégiques, à proximité des transports en commun classiques, de parkings de dissuasion, de zones d'habitation, centres commerciaux, zones de loisirs et de tourisme. C’est à coup sûr une idée séduisante : avec la petite restauration à bord, le retour du travail pourrait prendre des allures d’apéro. Les vélos sont acceptés, le wifi est disponible et le prix est modique (2 à 3 euros). Il faudra tout de même s’y faire : avec une vitesse de croisière de 7km, il faut près d’une heure et demi pour joindre les deux bouts. Et attention, le Waterbus n’embarque des navetteurs que les mardis et les jeudis du 1er mai au 31 octobre. Mais le site internet le promet : « dans les années à venir: plus grande fréquence, bateaux plus rapides, plus de jours de navigation programmés... ». Et la ministre bruxelloise des Travaux Publics, des Transports et du Port de Bruxelles est déjà ravie: "Le Waterbus propose une solution de mobilité complémentaire en Région de Bruxelles-Capitale. Il est non seulement un mode de transport écologique qui évite les embouteillages, mais est aussi un mode de déplacement agréable et original. De plus, les voyageurs en Waterbus peuvent facilement prendre une correspondance en transports publics et peuvent également poursuivre leur voyage à vélo ou à vélo partagé. L'intermodalité est donc un des objectifs majeurs de ce projet", annonce Brigitte Grouwels.
Toute une symbolique :
A l'occasion de l'inauguration - de ce qui n'est encore qu'un projet pilote - Philippe Close a souligné toute la symbolique du Waterbus. "Bruxelles a souvent mal aimé son canal, la navette le réhabilite", note l'échevin du tourisme. "Mais bien plus, le Waterbus connecte une commune flamande à la capitale..."
Il ne s’agit simplement que de bon sens. Alors que les infrastructures de transport public urbain ont des coûts de constructions qui ne permettent jamais d’espérer une quelconque rentabilité, bon nombre de ville ont une infrastructure fluviale gratuite qui ne demande que l’aménagement d’embarcadères et bien peu envisagent de l’exploiter.
Pendant 20 ans, des passionnés ont essayé de promouvoir un concept baptisé « Nautibus ». Ce moyen de transport fluvial, imaginé pour exploiter l’infrastructure du Canal du Midi à Toulouse sur le bief de Matabiau était certes plus lent que la ligne B du métro. Son temps de trajet entre la Gare Matabiau et Ramonville était pénalisé de prés de 10 minutes, mais il offrait une croisière bien sympathique. Ce mode de transport qui réconcilie avec le fleuve et les canaux permet de transformer les déplacements domicile-travail en une croisière de détente dans un cadre encore préservé. De telles initiatives épargnent les lourds chantiers urbains et peuvent être d’une mise en œuvre immédiate. Hélas les élus à charge des transports , souvent issus du ferroviaire imposent leur culture lourde et dispendieuse car le rail semble leur avoir bouché tout autre horizon. L’expérience de Vilvoorde mérite d’être saluée. Espérons qu’elle transformera cet essai sympathique et pourra être dupliquée en France hors lignes anecdotiques comme le service organisé sur Bordeaux pour franchir la Garonne. Nautibus n’est pas plus décalé comme concept que le téléphérique urbain Télétram. http://www.claraco.com | EN SAVOIR PLUS | LIRE L'ARTICLE
25
juil
Le nouveau plan d’aide à la modernisation de VNF approuvé par la Commission Européenne
VNF vient de lancer son nouveau plan d’aide pour la période 2013–2017, intégrant un volet « innovation ». D’un montant maximal de 22,5 Millions d’€uros, il devrait davantage mobiliser les collectivités locales, la participation de VNF et de [...] l’Etat restant inchangée à 16,5 Millions d’€uros (dont 12,5 Millions d’€uros pour VNF).
Le plan d’aide à la modernisation et à l’innovation (PAMI) concentre une partie des efforts sur l’objectif de renouvellement de la flotte (aide à la construction de bateaux, à l’adaptation des unités aux trafics nouveaux et à la transmission des unités à des créateurs d’entreprises).
Dans le domaine de l’environnement, les aides visent à améliorer le rendement énergétique du bateau et réduire les émissions de gaz à effet de serre. La sécurité du transport fluvial est également un enjeu prioritaire, avec des aides pour les nouvelles instrumentations (cartes ECDIS) nécessaires à l’utilisation des services d’Information Fluviale (SIF).
Le PAMI a enfin pour objet d’effacer les coûts supplémentaires de rupture de charge, en encourageant l’équipement des bateaux en engins de manutention embarqués ou leur adaptation aux zones de navigation fluviomaritime. Il vient ainsi en complément du plan d’aide au report modal (PARM) lancé au printemps dernier et doté, quant à lui, de 14 Millions d’€uros sur 5 ans.
Le PARM s’adresse aux chargeurs désirant investir dans des équipements de transbordement ou expérimenter une solution de logistique fluviale innovante. Il prolonge les précédentes aides aux embranchements fluviaux.
Les demandes d’aide peuvent être déposées :
- Pour le PAMI, aux agences VNF de Douai (03 27 94 55 70), Dunkerque (03 28 58 71 25), Nancy (03 83 17 01 03), Compiègne (03 44 92 27 38), Saint-Mammès (01 64 70 57 70), Le Havre (02 35 22 99 34) et Lyon (04 72 56 17 73)
- Pour le PARM, aux services développement de la voie d’eau de Lille (03 20 15 49 70), Paris (01 44 06 63 60), Dijon (03 45 34 13 00), Toulouse (05 61 36 24 24), Lyon (04 72 56 59 24), Nancy (03 83 17 01 01) et Strasbourg (03 88 21 74 74). http://www.claraco.com | EN SAVOIR PLUS | LIRE L'ARTICLE
25
juil
Trois drames ferroviaires au Canada, en France et en Espagne interpellent brutalement en rappelant avec quelle humilité l’homme doit aborder les risques de la société moderne. Lors de ces événements, quelles qu’en soient les causes, les conséquences sont payées en vies et en meurtrissures profondes. Ces évènements soulignent avec quelle modestie, [...] l’homme doit se comporter. Le désarroi infligé par ces tragédies ne trouve pas son vocabulaire tant la violence est insoutenable. Nous ne savons qu’exprimer notre profonde compassion aux victimes et à leurs proches. La magnitude de cette secousse ébranle la confiance que avons tous associé au chemin de fer. Le désarroi de notre impuissance contraste avec les réactions spontanées, solidaires et immédiates des bénévoles qui dans toutes ces circonstances, ont fait fi de tous les dangers pour immédiatement se porter au secours des personnes. De telles circonstances ont montré les bases de ce qui fait une société : La solidarité et l’entraide. Cette nuit, en Espagne, des files d’attentes impressionnantes de donneurs de sang, l’illustrent en silence. http://www.claraco.com | EN SAVOIR PLUS | LIRE L'ARTICLE
25
juil
La SNCF va poursuivre l’augmentation de son parc TGV en passant jeudi 25 juillet une commande supplémentaire de 1,2 milliard d'euros auprès d'Alstom portant sur 40 rames Duplex. a-t-on appris de sources proches du dossier. La commande totale des 40 rames à un prix unitaire de 30 millions d’euros représente 1,2 milliard d'euros. La SNCF lève cette option qu'elle avait [...] passée en 2012 lorsqu'elle avait déjà commandé 30 de ces rames de trains à grande vitesse à deux niveaux. Le contrat, annoncé en avril 2012, était alors assorti d'une option d'achat de 30 rames supplémentaires déjà enregistrées dans le carnet de commandes du groupe industriel Alstom.
Ces nouvelles rames Duplex à deux niveaux ont une capacité supplémentaire d'environ 10% par rapport aux anciennes rames. Elles comptent 560 places sur.
Cette livraison qui doit s'échelonner jusqu’en 2019, permet à la SNCF de conserver un standard de matériels qu’elle développe depuis 1985 et de donner une charge complémentaire de travail à ALSTOM qui pourra ainsi amortir sur le marché Français sa chaîne de production qui n’a pas eu le succès escompté à l’exportation.
Cette commande complémentaire qui a préservé l’exclusivité d’ALSTOM permet une normalisation de parc voyageur plus étendue sur l’ensemble du réseau SNCF. En effet le renouvellement prévu des trains Intercités offre l’opportunité de basculer les rames automotrices de première génération TGV vers les lignes classiques électrifiées. Ces lignes qui ne supportent pas toujours pour des raisons de gabarit les rames à deux niveaux, verront ainsi leurs opérations de formation de convois simplifiées du fait de la réversibilité des michelines TGV qui disposent une cabine à chaque extrémité et évitent les manœuvres de locomotives. Si ce contrat va supprimer des postes pénibles à la SNCF, cette dernière va également jouer son rôle social de soutien à l’économie. En effet, cette commande de TGV permet par de faire travailler un millier de personnes en France. Ce contrat devait être signé ce jeudi par Guillaume Pepy, Président de la SNCF, et Patrick Kron, le patron d'Alstom, au ministère des Transports en présence de Frédéric Cuvillier et également du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg. Cette commande intervient alors qu’Alstom souffre et que la France a officiellement renoncé depuis une semaine au tout-TGV. Cette décision permet de libérer moins de rames TGV qui n’utiliseraient plus des lignes LGV augmentant leur productivité. Cette mesure permettra tout en épongeant un excédant de parc chronique de faire bénéficier du confort TGV à de nombreux services nationaux conventionnels. Si cette affectation a un coût pour la SNCF qui proposera ces matériels taillés pour la grande vitesse sur des lignes classiques, les voyageurs y retrouveront de bons avantages et les élus pourront exploiter l’image du train dans des villes où la grande vitesse n’était même pas envisagée. Dans les investissements d'avenir détaillés par le Premier ministre la semaine dernière figurait aussi l'engagement de renouveler intégralement tous les trains Intercités, ceux "qui maillent vraiment le territoire et qui facilitent la mobilité, (...) entre 2015 et 2025", a promis Jean-Marc Ayrault. http://www.claraco.com | EN SAVOIR PLUS | LIRE L'ARTICLE
22
juil
Alors que tous les élus sont préoccupés par l’efficacité énergétique, il est important de faire le constat des évolutions engagées pour faire passer le transport collectif comme l’un des facteurs pouvant y contribuer de manière générale. Le poids électoral étant désormais durablement urbain, les décideurs qui en sont issus ont souvent [...] oublié semble t-il leurs racines et s’inspirent des outils issus de la métropolisation pour le décliner à tout leur territoire. Cette déclinaison ne prend pas en compte les ressources propres à chacun de ces territoires et étendent des moyens disproportionnés en zone rurale car ils sont calqués sur les solutions urbaines et périurbaines financées par des ressources publiques liées à leur densité démographique et économique sans aucune proportion avec celles que peuvent dégager les territoires périphériques.
Ces contradictions s’amplifient par des convictions maladroitement ancrées qui voient dans des moyens de transports lourds et rigides comme le chemin de fer une solution au désenclavement qui offrirait une liberté de déplacement pour tous. Cette contradiction est particulièrement cruelle quand elle est illustrée par l’association de services ferroviaires hors de prix et sur cadencés qui imposent pour s’en approcher et y avoir accès l’automobile individuelle. C’est ainsi que des parkings de dissuasion dispendieux restent désespérément vide car en plus le train n’est pas la solution intermodale complémentaire la plus abordable.
Le bus aurait pu être une solution à des couvertures de desserte étendues en s’affranchissant de la rigidité d’une voie ferrée. Hélas ils sont souvent aussi contraints par les concepteurs des circuits de dessertes et sont proposés à des tarifs élevés équivalents à ceux du chemin de fer ne représentant plus le vrai coût du bus. Les contraintes règlementaires édictées par la LOTI (loi d’organisation des transports intérieurs) protègent ces services de toute concurrence. Ce protectionnisme loin de consolider la desserte des territoires au bénéfice des usagers ne valorise que l’autorité des élus sur un service porteur d’image pour leur propre communication. Sur les territoires à démographie la plus faible, des concepts de TAD (Transports à la demande) ont été mis en place mais ils ne répondent qu’imparfaitement aux besoins des habitants. Tout au mieux sur des communautés pauvres, ils permettent au travers de la gestion de la centrale de mobilité de prendre en charge sur le budget transport une partie des salaires d’un poste local qui n’aurait pu être financé.
Dans ce contexte, sur ces territoires ruraux, si les objectifs du Facteur4 doivent être atteints, c’est bien par une prise en charge individuelle et sans l’aide des autorités organisatrices de transports publics que les citoyens doivent les atteindre. Leurs choix éco-responsables et leurs capacités à inventer les nouveaux modes de déplacements montrent la sensibilité des habitants à ces problématiques qui devront à l’évidence laisser l’automobile au milieu des solutions.
LE COVOITURAGE : Blablacar, leader du marché français, donnent le tournis revendique déjà plus de 3 millions de membres en France, et continue à croître au rythme de 4.000 inscriptions par jour. « Nous transportons 600.000 passagers par mois en Europe, ce qui représente 1.500 rames de TGV pleines », détaille Frédéric Mazzella, le fondateur. Carpooling, l’autre acteur important, revendique 4,5 millions d’inscrits en Europe. L’essor du covoiturage s’explique notamment par la crise : les conducteurs peuvent partager à plusieurs les frais d’essence et de péage, et les passagers paient moins cher qu’avec le train. Si le trajet est moins confortable et souvent plus long, les avantages du porte à porte le compensent largement. Ceci dénote que l’équation économique justifiant du prix du train ou des TER est fausse et a fait émerger une réponse de bon sens de la clientèle. Ce paramètre à l’évidence doit reposer la question de la pertinence tarifaire de moyens de transports collectifs protégés qui ne font aucun effort de productivité pour s’adapter aux circonstances économiques actuelles.
L’AUTOMOBILE : le défi est très complexe. Réduire l’usage de la voiture dans un pays où sept Français sur dix l’utilisent encore pour se rendre au travail relève de la gageure. « En matière de mobilité, nous n’avons qu’une certitude pour l’avenir, c’est la baisse régulière de la consommation des véhicules », assure Jean-Pierre Orfeuil, professeur à l’Institut d’urbanisme de Paris. Grâce aux efforts de recherche des constructeurs et au renforcement des normes européennes d’émission, « la division par deux de la consommation de carburant d’un moteur thermique à horizon 2030 est tout à fait envisageable », confirme Dominique Auverlot, spécialiste des transports au Centre d’analyse stratégique. Le gouvernement a d’ailleurs fixé un objectif de recherche, réaliste, pour un moteur consommant 2 litres aux 100kms. Donc diviser par deux la consommation et voyager au moins à deux est une réponse cohérente du citoyen automobiliste pour atteindre Facteur4
L’avenir est déjà clairement dessiné. Il ne sert à rien de croiser le fer avec des idées inadaptées et onéreuses. Les citoyens ont déjà donné leur réponse. Pour les transports collectifs, les entrepreneurs privés ont déjà montré qu’une réponse économique routière et bientôt ferroviaire saura remettre en ordre ce gâchis financier de fonctionnement qui a entraîné la misère des infrastructures par défaut d’entretien. http://www.claraco.com | EN SAVOIR PLUS | LIRE L'ARTICLE
Robert & Gilles CLARACO Fondateurs du portail de l’intermodalité intermodalite.com