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Résultat de recherche auteur "intermodalite.com"

  1. 12
    déc

    Relancer le Fret Fluvial ? Trop cher

    Note 2.7/5 (113 votes)
    Posté par intermodalite.com, 12-12-2013 à 22:39 | Commenter | nb: 0 nombre de commentaires
    Relancer le Fret Fluvial ? Trop cher

    Contribution de L’ÉQUIPAGE 31
    Qu'y a t-il de commun entre les communes de Montgiscard, Castanet, Carcassonne et Castelnaudary? Vous avez trouvé bien sur, elles sont toutes les trois traversées par le canal du Midi. Elles ont aussi en commun d'accueillir des entreprises en bordure ou à proximité du canal, et ont fait l'actualité lors de l'inauguration de la zone [...] d'activité Nicolas Appert à Castelnaudary, qualifiée de "plate forme multimodale" par le président du Conseil Général. Voilà donc des communes riveraines du canal, dans ces communes des zones d'activités, dans ces zones des entreprises qui ont des besoins en logistique. La plateforme multimodale ne pourrait-elle pas intégrer le mode fluvial? Mais, répond le gouvernement aux élus qui l'interpellent, comme Roland Courteau au sénat ou Marie-Hélène Fabre à l'assemblée nationale, cela coûterait trop cher pour relancer le fret fluvial sur le canal. Il n'y a donc plus d'argent pour investir sur le canal des deux Mers?
    Le grand bassin de Castelnaudary va bénéficier d'un aménagement à hauteur de 2 millions d'euros, l'abattage des platanes et la replantation vont coûter 200 millions d'euros, l'automatisation des écluses, qui a des conséquences sur l'emploi et sur la navigation, a un coût qui se compte en millions d'euros. A Narbonne comme à Agde on va creuser des ports de plaisance, port la Robine va s'agrandir, le site de Fonseranne va être aménagé, pratiquement 8 millions d'euros, 1,8 millions d'euros pour aménager des pontons d'accueil pour paquebots de luxe à Bordeaux, le port d'Agen. va bénéficier aussi d'investissements......VNF et les collectivités mettent la main au porte monnaie. Face à cette liste, qui pourrait faire la somme des moyens financiers et humains mis en œuvre pour l'aide au retour du transport sur le canal des deux Mers? Pas grand chose, si ce n'est rien du tout. Le 4 décembre dernier a été lancé à la Chambre de commerce de Toulouse le club d'investisseurs qui va aider à la replantation des berges du canal. Mis à part les quatre sociétés de location qui ainsi cherchent à se donner une belle image, Arterris et l'entreprise Malet pourraient participer d'une autre manière au sauvetage du canal: les céréales qu' Arterris exporte à port la Nouvelle et les granulats de l'entreprise Malet, et pourquoi pas le vin du Val d'Orbieu pourraient bien emprunter le canal plutôt que la route. Airbus utilise déjà la voie d'eau avec la barge qui remonte la Garonne avec les pièces de ses avions.
    Les transporteurs routiers ont bien compris l'intérêt de la voie d'eau, comme VELOG qui a créé « Vert Chez Vous » en lançant le transport et la distribution de colis dans Paris avec une péniche et des véhicules électriques ou au GNL.....
    Si on avait consacré ne serait-ce que le dixième de l'énergie et des moyens financiers dédiés au développement touristique pour soutenir des projets de transport sur le canal, nous aurions encore des péniches chargées naviguer à l'année sur un canal retrouvant un sens et une utilité pour la collectivité.
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    Catégorie : Transport marchandise | Origine de l'article : intermodalite.com
  2. 20
    déc

    Le verrou Franco – Espagnol a définitivement sauté à Perpignan

    Après la normalisation douanière par l’intégration complète de l’Espagne à l’Europe Communautaire, il ne restait plus qu’un hiatus technique pour justifier les installations logistiques ferroviaires du Boulou-Perthus et de Perpignan St Charles. En effet la différence d’écartement entre le réseau ferré Ibérique et le standard [...] Européen demandait une opération de changement d’essieux pour poursuivre en mode ferroviaire ou de transbordement des conteneurs vers les camions pour terminer un acheminement en mode routier. Il va s’en dire que cette rupture de charge fut vite gommée par des services routiers, mieux adaptés, offrant un service direct origine/destination. L’intermodalité rail-route a longtemps soutenu la croissance des activités de la gare marchandises de Perpignan - St Charles et celle du terminal ferroviaire du Boulou (Terminal actuel de l’autoroute ferroviaire SNCF). En ce qui concerne le trafic conventionnel, seuls les agrumes peuvent encore justifier le complexe de Perpignan St Charles mais plus le fret industriel. Quant au Boulou, il perd son statut de terminus ferroviaire de l’écartement Européen au profit de Barcelone qui se voit connectée directement à tout le réseau UIC paneuropéen. Les avantages ferroviaires au départ de Barcelone sont multiples : l’un des principaux intérêts vient du fait qu’il n’y a plus à gérer la saturation des moyens routiers sur la distance séparant Barcelone et la frontière pour obtenir un prix concurrentiel. Le deuxième avantage de la plateforme de Barcelone est l’intégration complète du mode ferroviaire sur l’un des ports majeurs de la Méditerranée. Dès lors, Port la Nouvelle et Port-Vendres qui sont partie intégrante du complexe logistique Roussillon-Méditerranée n’ont plus qu’un rayonnement limité.
    Tout proche de la gare du Boulou départ de l’autoroute roulante Lorry-Rail ; l’investissement de 40 Millions d’Euros pour agrandir le terminal de transport combiné Perpignanais s’avère hasardeux. Cette incohérence des décisions, explique également la lutte fratricide que se livrent VIIA (Lorry-Rail) et Novatrans. En effet VIIA s’immisce sur le marché de Novatrans et propose en complément à son autoroute ferroviaire, le transport des caisses mobiles conventionnelles indispensables au remplissage de ses convois. Simultanément Perpignan voit les trains internationaux qui étaient traités, griller St Charles, et rentrer directement à Barcelone.
    Si jusqu’ici, il était compréhensible que la différence d’écartements des rails entre l’Espagne et le réseau UIC européen donnait aux gares intermodales, situées en frontière coté français, une position incontournable, il est certain qu’aujourd’hui l’harmonisation des écartements de rail en Espagne va permettre à toutes les compagnies ferroviaires européennes de s’implanter à la source des trafics en faisant du même coup sauter ce verrou ferroviaire qui fit la richesse de Perpignan. Mais nous pouvons y voir également pour les compagnies ferroviaires espagnoles menacées sur leur sol, l’obligation d’étendre leur réseau à l’Europe entière. Cette concurrence inattendue est particulièrement favorable au mode ferroviaire. Il pourrait voir les compagnies, y compris la Renfe, multiplier le nombre de trains traversant les Pyrénées. La qualité et la diversité des l’offres proposées à l’avenir par les compagnies ferroviaires permettront une meilleure acceptabilité du train. Ces évolutions verront surement une entreprise comme VIIA - Lorry Rail proposer la vitesse de son service au départ de la région de Barcelone.
    Le nouveau terminal TERCAT à Barcelone permet d’avoir une idée de l’investissement à rapprocher des 40 millions de Perpignan Roussillon.
    Le terminal marchandises de Villamaya prés de Figueras à quelques kilomètres de la frontière se trouve relancé par le simple différentiel fiscal et social. Cette remise en compétitivité devrait capter les activités du pôle logistique de Perpignan et du Boulou. Cinq mille emplois seraient concernés.
    Vers l’Europe, les cartes sont déjà redistribuées. La RENFE (Chemins de fer d’Etat en Espagne) a opté pour l’ouverture et assure la traction jusqu’à Perpignan des trains de la plupart des grandes compagnies Européennes. Ces trains transitant par le tunnel LGV sont tous des trains qui ont été prolongés depuis Perpignan. Les services bi ou trihebdomadaires relient Barcelone à l’Europe Ferroviaire. Les destinations régulières sont : Lyon, Perpignan et Toulouse pour la France, bientôt Bordeaux, Anvers en Belgique, Mannheim et Ludwichagen en Allemagne, Milan en Italie tout en n’oubliant pas Dagenham en Angleterre et Bâle en Suisse. Sans réveiller Perpignan, l’Europe s’est mise en place. Il ne reste plus qu’a prendre en compte cette nouvelle donne pour inventer en Roussillon une composition stratégique qui permette de justifier son existence.
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  3. 17
    déc

    LE TROLLEYBUS : Une piste raisonnable à valoriser

    Note 2.69/5 (533 votes)
    Posté par intermodalite.com, 17-12-2012 à 15:23 | Commenter | Voir commentaires | nb: 4 nombre de commentaires
    LE TROLLEYBUS : Une piste raisonnable à valoriser

    Une hiérarchie dans les dispositifs de transports urbains s’est installée en fonction du débit à assurer. Le métropolitain a pour avantage de dégager les voies de surface et d’assurer un très haut débit avec une haute fréquence des services. Ce dispositif dispendieux a trouvé une application pour des budgets modérés en développant le VAL : [...] Métro automatique léger (Toulouse-Lille-Orly). Les outils plus légers sur des dessertes moins fréquentées restent des dispositifs de surface. Ils vont du Tramway qui est un transport guidé électrique disposant de voies réservées, au bus conventionnel. Le bus, bien que disposant de couloirs réservés est souvent amené à partager la voierie. Les ressources financières de plus en plus contraintes ont amené à construire la strate intermédiaire des BHNS : Bus à Haut Niveau de Service qui disposent d’un site propre mieux identifié et tout comme le tramway peut garantir la régularité de ses horaires. Ces bus conventionnels visent à offrir le même débit qu’un Tramway. Majoritairement thermiques, les lignes de bus cristallisent les recherches pour développer des carburants propres ou des sources d’énergies embarquées pouvant procurer l’autonomie suffisantes pour accomplir les missions. Au milieu de cet éventail de solutions qui rend opaque les prises de décisions, le Trolleybus est un grand oublié.
    Le Bus à Haut Niveau de Service – BH NS :
    Ce type de service a pour objectif d’apporter une garantie de la qualité du service, supérieure et plus robuste qu'une simple ligne de bus. Le BHNS permet d’alléger les investissements lourds necessaires à la construction d’un tramway. Le trolleybus se retrouve pertinent pour ce type d’exploitation. Les critères de pertinence du BHNS répondent à des normes de vitesse commerciale relevée ce que permet la mise en site propre. Une fréquence élevée et une amplitude horaire importante corroborent ces critères. Pour cela, la priorité des bus est donnée aux carrefours et un tracé adapté des configurations des itinéraires permet l’engagement de véhicules de grande capacité. Ces volumes de trafic justifient l’aménagement spécifique des arrêts. Un véhicule de grande capacité (Tri caisse) devient particulièrement pertinent pour consolider ce type de desserte.
    Les trolleybus :
    Ce sont des bus fonctionnant à l'électricité, alimentés grâce à un réseau de fils aériens. Concept ancien au regard des transports collectifs ils ont été supplantés par le bus qui ne nécessitait pas de caténaires d’alimentation. Leur coût d’investissement et d’exploitation en font une alternative au tramway. Bénéficiant d’un rendement exceptionnel grâce à leurs moteurs électriques (90%), ils sont silencieux et très respectueux de l'environnement. Ils pourraient intégrer facilement le guidage automatique et adopter des options connues leur donnant une autonomie électrique intéressante sur des sections dépourvues de lignes aériennes. Les tramways sont à même de projeter les lignes urbaines hors villes, donnant accès aux premières couronnes par un transport indépendant de l’énergie fossile. Le trolleybus est une réponse qui sommeille depuis des décennies et qui a été sous valorisée pour favoriser une recherche vers des procédés d’hybridation des véhicules ou vers de nouveaux accumulateurs. Aujourd’hui le Trolleybus est le bon sens immédiat.
    Le Trolleybus, couplé à une infrastructure supportant un service BHNS permet aujourd’hui des avancées complémentaires pour protéger les espaces urbains et la qualité de vie. En effet cette infrastructure électrifiée permet sur les plages très matinales de mettre en place des services de distribution urbaine électrifiés. Il pourrait en être de même pour les services de ramassages des ordures ménagères. Ces deux activités qui animent la nuit verraient leurs moteurs électriques éliminer l’une des nuisances les plus sensibles : Le bruit des vibrations et résonnances des moteurs thermiques. Siemens fait faire actuellement de gros progrès au système de captation de l’électricité. Un dispositif moins contraignant sur les conditions de mises en œuvre permet un branchement instantané du véhicule à la ligne conductrice d’énergie. Ce dispositif permet également le « biberonnage » pour des batteries de volume réduit permettant une autonomie d’évolution hors alimentation directe.
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  4. 16
    déc

    Camions du futur

    Note 2.75/5 (437 votes)
    Posté par intermodalite.com, 16-12-2012 à 17:20 | Commenter | nb: 0 nombre de commentaires
    Camions du futur

    Il est dommage que le lobbying du transport routier ne touche en priorité que les professionnels de la branche. De ce fait les citoyens ne sont pas sensibilisés au monde du poids lourd qui innove en permanence pour vivre en bonne harmonie avec tous. Cette recherche qualitative, au-delà des progrès réalisés en matière de sécurité, d’économies [...] d’énergies et de baisse des émissions de gaz à effets de serre, a permis une amélioration des performances et de la compétitivité. C’est grâce à ces progrès que les limites sur le poids total roulant des camions et leurs dimensions ont pu être relevées. Les tonnages des ensembles routiers sont passés de 35 à 44 tonnes, la longueur des véhicules des années 1960 est passée de 11 mètres à 13 mètres et la largeur de 2.50 mètres à 2.60 mètres. La puissance des véhicules est montée de 280 chevaux à prés de 600 chevaux avec une baisse des consommations. Simultanément, la règlementation sociale améliorait les conditions de travail des conducteurs. C’est grâce à la mise en place de formations continues d’aides à la conduite que le personnel routier s’est adapté à l’assistance informatique nécessaire pour piloter les boites à vitesses automatiques, les régulateurs et limiteurs de vitesse. Le GPS et le téléphone mobile sont devenus indispensables pour une localisation instantanée permettant gains de temps et optimisation des plans de transports. Ayant su tirer parti des dernières technologies les constructeurs routiers ont démontré toute leur capacité à se projeter dans l’avenir. http://www.claraco.com | EN SAVOIR PLUS | LIRE L'ARTICLE

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  5. 16
    déc

    TOULOUSE BLAGNAC, meilleur aéroport Français pour les passagers

    Note 2.88/5 (595 votes)
    Posté par intermodalite.com, 16-12-2012 à 17:16 | Commenter | nb: 0 nombre de commentaires
    TOULOUSE BLAGNAC, meilleur aéroport Français pour les passagers

    Double bonne nouvelle pour l’aéroport de Toulouse-Blagnac qui a enregistré 607.387 passagers au mois de Novembre 2012. Cette progression de 10,4% par rapport à la même période l’an dernier démontre la vitalité du mode aérien dans la capitale Française de l’aéronautique. Cette augmentation continue du trafic est portée par [...] l’international particulièrement pertinent de par les distances et l’organisation efficace des réseaux. Cette croissance de 21,4%, plus particulièrement les vols réguliers (+22,4%) montre l’ancrage de la plateforme comme porte du Sud Ouest et en particulier de Midi Pyrénées. Le trafic sur les liaisons nationales est également en hausse de 4,8%, avec les plus fortes progressions sur Toulouse - Nice (+65,2%) et Toulouse - Strasbourg (+52,1%). La ligne relai vers le monde au travers du hub de Roissy est également très active. Air France récolte aussi les premiers bénéfices de nouvelle organisation.
    Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, l'aéroport de Toulouse-Blagnac est considéré par les voyageurs français interrogés comme le meilleur aéroport de France, une place confirmée par des classements qui se complètent et confirment celui de Skyscanner.
    Les critères de référence prennent en compte le confort dans les zones d’accueil, dans le salon VIP, ainsi que la qualité des services disponibles dont le temps d’attente avant l’enregistrement et à l’arrivée, la livraison des bagages. Sur ces critères l’aéroport de la Ville Rose excelle. Intermodalité.com souligne cette excellence par la situation proche du cœur de ville qui permet à la fois d’offrir des liaisons urbaines et taxi plus abordables et plus efficaces que dans la plupart des villes d’Europe. A cela s’ajoute l’accessibilité périurbaine de Blagnac qui permet aux voyageurs un accès en voiture qui majoritairement évite les bouchons des périphériques Toulousains. Autre tendance positive, le trafic fret est également en forte augmentation (+17,4%), avec 5.891 tonnes traitées.
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  6. 15
    déc

    La vigilance d’EE-LV aurait-elle remis Martin Malvy sur les Rails ?

    Europe Ecologie – Les Verts ont convoqué une conférence de presse le 14 Décembre 2012 à l’Hôtel de Région à Toulouse. L’objet de cet exercice de communication était semble t’il d’alerter l’opinion publique sur l’intention du Conseil Régional de Midi Pyrénées de déshabiller les trains régionaux TER au profit du [...] projet de Ligne à Grande Vitesse Bordeaux – Toulouse. Des éléments probants et concordants ne pouvaient que dessiner avec précision le contour de cette stratégie.
    Le Président de Région : Martin Malvy et ses conseils ferroviaires pour reprendre la situation en main nous ressortent leur éternelle botte secrète de la grosse dépense prévisionnelle, piqûre de rappel pour tous ceux qui oublieraient qui détient l’argent. Ainsi donc, ce matin et par anticipation à la communication proposée par EE-LV, Martin Malvy se déclarant « particulièrement surpris » a apporté des précisions par communiqué: « Je ne veux voir là », a t-il déclaré, « qu’une erreur d’interprétation de documents budgétaires. Non seulement la Région ne se désengage pas, mais je proposerai – a précisé le président de Région – l’inscription au budget 2013 de 11 nouveaux autorails pour la bagatelle de 100 millions d’euros. Dans le même temps, nous réaffecterons 23,14 M€ de crédits régionaux sur une provision de 26,17 rendus disponibles par de moindres dépenses sur certains chantiers. Ils seront consacrés au financement des études pour l’achèvement du doublement de la ligne Arènes-Colomiers, la modernisation des gares ou l’allongement de certains quais, par exemple. Ces crédits figuraient au chapitre « Développer les transports collectifs et accéder aux réseaux à grande vitesse » du Contrat de projets Etat-Région pour un montant initial de 351 M€. Restent 2,7 M€. Ceux-là seront orientés vers le financement des études pour la LGV Bordeaux-Toulouse et une première dotation au fonds d’acquisitions foncières pour les propriétaires qui souhaitent vendre rapidement des terrains concernés par cette même LGV .Ces mouvements de crédits sont donc purement techniques » a conclu Martin Malvy. (NDR. C’était donc bien fondé au moins pour ces 2.7 M€).
    « Ils résultent de l’exécution du Contrat de projets. Contrairement à ce qu’a pu croire le groupe EE-LV, nous ne retirons rien au réseau régional (NDR. Sauf les 2.7 M€ ci-dessus) auquel nous avons consenti l’effort le plus important réalisé en France par une Région. Bien au contraire, nous ajoutons de nouvelles opérations. »
    Intermodalite.com encore une fois vous éclaire sur les aspects que le document de projet ne laissait entrevoir. Ainsi intermodalite.com vous apporte une information complète et objective.
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    Catégorie : Coup de gueule | Origine de l'article : intermodalite.com

Robert & Gilles CLARACO Fondateurs du portail de l’intermodalité intermodalite.com