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Enfin une vision réaliste qui définit bien les scénarios d'avenir.
Le privé VEOLIA CARGO a du être plus clairvoyant, poussé par son Conseil d'Administration et a jeté l'éponge dès le constat de la situation.
Eurotunnel dans Europorte essaie de compenser le déséquilibre des coûts imposés en France en saturant ses moyens optimisés et n'a pas de perspectives d'équilibre.
Seul ECR qui peut panacher ses couts de productions grâce aux matériels partiellement amortis chez EWS puis chez DB se permet d'afficher des résultats positifs.
Cette révélation d'un possible équilibre du fret ferroviaire est une alarme pour tous ceux qui espèrent durer sur des aides publiques.
Donc effectivement, Geodis doit essayer de trouver sa route et surtout le il doit démonter son manège ferroviaire.
Quant à VFLI, surveillons sa réaction s'il est lâché par le groupe avec des obligations d'autonomie.
Très bonne contribution d'Intermodalité qui arrive a exprimer une simple réalité.
31-32 minutes c'est Toulouse - Agen en LGV aussi si elle est financée. Dans un concept intégré Fer + Air, le coût du fer est transparent pour le voyageur si les bagages sont enregistrés à la montée dans le train à Toulouse et si le train dessert l'aéroport. C'est peut être ce concept de regroupement de gares sur un point multimodal qu'a du vouloir mettre en avant la contribution. Par contre deux questions se posent:
1- Qu'en est-il de la saturation de l'aérodrome de Blagnac qui semble s'éloigner
2- Qu'en est-il du bouclage financier de la LGV car jusque là on peut faire toutes les hypothèses avec l'argent des autres. Surtout vu de la citadelle Matabiau ou de l’Hôtel de Région...
Le problème des coupes n'est pas tranché car c'est une exploitation RENFE et pour la positionner par des agents RENFE, l'opération de fait sur le segment d'échange du faisceau international et non sur une installation SNCF-RFF. Je pense que c'est pour cela qu'il y a des incohérences horaires et que le protocole de la coupe à Narbonne n'est pas encore acquis par RENFE.
Le temps en transport en commun de Matabiau à l'aéroport de Blagnac n'est pas inconnu : il sera d'environ 31 ou 32 minutes fin 2014 avec la branche Envol du tramway (ligne T2).
Et ce avec une amplitude horaire (de 5h à 1h du matin) et une fréquence (15 minutes) qu'il n'y aura jamais entre Matabiau et Agen, ou du moins pas avant des décennies.
Et ce pour le prix d'un titre de transport urbain (c'est-à -dire aucun coût supplémentaire pour les dizaines de milliers de personnes déjà abonnées au réseau Tisséo).
Le président du directoire de l'aéroport de Blagnac prévoit un net ralentissement de la croissance du trafic, et pas de saturation de l'aéroport avant 2025-2030 (et si ça arrive un jour il reste de la place pour construire un terminal supplémentaire).
L'aéroport de Genève traite 10 millions de passagers par an avec une seule piste.
Bonjour et merci pour ces informations,
Effectivement s'il y a deux tranches à séparer (dommage que ça ne soit pas évoqué dans l'article!), autant que ce soit fait à Narbonne (donc en desservant aussi cette ville) plutôt qu'à Perpignan pour ensuite occuper deux sillons et sauter Narbonne!?
Par ailleurs il y a des choses troublantes dans les horaires mentionnés dans l'article :
1. Les Tlse-Bcln sont beaucoup plus lents que les Bcln-Tlse, une idée d'explication?
2. Et ce alors que le Tlse-Bcln en 3h21 ne s'arrête que 3 minutes à Perpignan, alors qu'un Bcln-Tlse met 3h06 en tout, en s'arrêtant pourtant 9 minutes à Perpignan!
3. Enfin, si les deux tranches sont également réunies à Perpignan, accrocher deux TGV en 3 minutes, c'est plus rapide que ce qu'on observe généralement, non?
Cordialement
Effectivement l'idée d'un arrêt sur le raccordement est trés interessante.
pour ma part, je n'ai pas compris pourquoi les deux TGV accrochés au départ de Barcelone pour Toulouse et pour Marseille étaient décrochés à Perpignan.
Cela utilise deux sillons par deux trains qui se suivent de Perpignan à l'entrée de Narbonne. Les décrocher à quai à Narbonne permettrait de desservir Narbonne et de les séparer en temps marqué, le deuxième conducteur montant dans sa cabine pour conduire vers Toulouse.
Robert & Gilles CLARACO Fondateurs du portail de l’intermodalité intermodalite.com
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