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AH! enfin les chinois! mais je ne cmnorepd pas certain commentaire des aigris.Non le train chinois pompe trop de charbon,il ne va pas durer longtemps,parait-il qu il ne roule pas sur des rails,bla bla bla,non c est a dire que les chinois exigent le transfert de technologie:que de la propagande pour se consolerles chinois n ont qu 1 seul objectif:etre premier. pour eux meme s il faut acheter toute la production du vin de france et l utiliser comme fuel et obtenir le train le plus super rapide il le feront.et puis concernant le transfert de technologie les frane7ais n etait obliger d accepter,ils ont du gagner quelque chose en retour qui les inte9ressait.je rappel que bientot ils auront un transfert de technologie pour aller sur le soleil.
Et voila l'Etat qui pourrait monter au capital d'Alstom.
L'avenir à Siemens qui prend la branche énergie
Le passé à Alstom qui garde les trains
Et l'Etat qui pourrait payer....
Alstom : Siemens dévoilera bientôt ses intentions pour Alstom
dimanche 18 mai 2014 Ã 18h18
Siemens dévoilera bientôt ses intentions pour Alstom
par Arno Schuetze et Noah Barkin et Natalie Huet
FRANCFORT/PARIS (Reuters) - Siemens travaille sur une proposition d'échange d'actifs avec Alstom qui donnerait au gouvernement français un droit de regard sur l'avenir du groupe recentré sur le rail et qui pourrait être présentée dès la semaine qui vient, apprend-on de sources proches des discussions.
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Alstom a engagé des négociations avec l'américain General Electric, qui offre 12,35 milliards d'euros pour reprendre ses actifs dans l'énergie. Mais, sous la pression du gouvernement, il a donné accès à ses comptes à Siemens afin que le groupe allemand puisse également soumettre une offre d'ici le 2 juin, date prévue pour l'entrée en négociations exclusives avec GE.
Selon des sources des deux côtés des tractations, Siemens travaille sur une offre améliorée qui créerait deux "champions nationaux", l'un dans l'énergie avec Siemens, l'autre dans les transports autour d'Alstom.
Le géant munichois a présenté fin avril les grandes lignes d'une contre-offre valorisant la branche d'énergie d'Alstom à 14,5 milliards de dollars (10,6 milliards d'euros) et incluant du cash et des transferts de certains actifs ferroviaires au groupe français.
Selon deux sources proches du dossier, la proposition de Siemens comporterait maintenant le transfert de l'ensemble de ses actifs ferroviaires à Alstom et la constitution d'une coentreprise dans la signalisation ferroviaire.
Pour limiter son influence sur le nouvel Alstom recentré sur les transports, Siemens discute avec Paris et Berlin de l'opportunité pour l'Etat français de se renforcer au sein d'Alstom, ont ajouté des sources politiques et financières. L'Etat ne détient plus que 0,9% de l'ex-groupe public via la Caisse des dépôts et consignations.
Selon diverses sources, Paris pourrait monter au capital d'Alstom - l'une d'elle a évoqué une participation de plus de 10% - afin de garantir que le groupe, sauvé de la faillite par des fonds publics il y a dix ans et resté un important employeur industriel dans l'Hexagone, conservera ses racines françaises.
Les actifs d'Alstom dans l'énergie éolienne et l'énergie nucléaire seraient parallèlement vendus à Areva, répondant ainsi aux inquiétudes du gouvernement sur l'indépendance énergétique du pays, selon deux sources financières.
Si certaines sources proches des tractations doutent de l'intérêt d'Alstom pour une offre, même améliorée, du groupe allemand, celle-ci permettrait au gouvernement de faire monter les enchères avec GE.
Siemens, General Electric et Areva n'ont pas souhaité commenter. Une porte-parole d'Alstom s'est contentée de dire que le groupe examinait l'offre de GE et avait reçu une manifestation d'intérêt de Siemens mais pas d'offre formelle. Un porte-parole de la CDC n'a pu être joint dimanche.
(avec Sophie Sassard à Londres, Markus Wacket à Berlin, Benjamin Mallet et Julien Ponthus à Paris, Véronique Tison pour la version française)
Copyright © 2014 Thomson Reuters
70% des Français préfèrent garder leurs industries d'un autre temps.
Qu'ils se rassurent Alstom sera aussi attrayant dans quelques temps que notre sidérurgie et nos charbonnages.
On pourra équiper la France de produits désuets à grand prix....
On est en route pour faire du Pays un musé national qui attirera les touristes....
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70% des Français cautionnent le décret de patriotisme économique de Montebourg
le 17/05/2014, mise à jour hier à 15h03
70% des Français cautionnent le décret de patriotisme économique de Montebour
(Boursier.com) — La dernière mesure prise par Arnaud Montebourg recueille le plein plébiscite des Français. Selon un sondage effectué les 15 et 16 mai sur un échantillon de 1.072 personnes, 7 Français sur 10 disent soutenir le décret de "patriotisme économique" d'Arnaud Montebourg. Après le rapprochement entre Alstom et General Electric en vue d'un rachat par le groupe américain de la branche énergie du Français, cette mesure vise à octroyer à l'Etat un droit de veto afin d'éviter qu'une entreprise nationale opérant dans un secteur stratégique passe, sans plus de précaution, dans le giron d'un groupe étranger.
70 % des Français, à gauche comme à droite !
Selon effectuées BVA-télé-CQFD et Le Parisien - Aujourd'hui en France, 70% des Français se prononcent en faveur du décret de "patriotisme économique" d'Arnaud Montebourg. Seulement 28% ne sont pas favorables à cette mesure destinée à soumettre un certains nombre investissements étrangers l'approbation du gouvernement. "Toutes les catégories de Français approuvent cette idée, quels que soient : leur âge, leur catégorie professionnelle et sociale et leur appartenance politique", indique BVA. En particulier, cette décision est très largement soutenue à gauche (90%), mais également 56% des sympathisants de droite l'approuvent.
Efficacité ?
En revanche, les Français sont plus sceptiques quant à l'efficacité d'Arnaud Montebourg dans ses fonctions... Malgré ses positions consensuelles, seulement 30% estiment le Ministre "efficace" (57% de satisfaction auprès des sympathisants de gauche), tandis qu'une nette majorité de 65% des Français le considère "pas efficace". Quelle que soit la popularité d'Arnaud Montebourg, si ce décret est validé dans son principe par l'Union européenne, tout groupe étranger souhaitant prendre le contrôle d'une entreprise française dans les secteurs du transport, de l'eau, de l'énergie, des télécoms ou de la santé devra obtenir l'autorisation de l'Etat.
Alexandra Saintpierre — ©2014, Boursier.com
CONFLIT D’INTERÊTS - Le futur patron du cabinet qui conseille l’entreprise française dans la vente de sa branche Energie n’est autre que le frère du président de General Electric.
L’INFO. La revente de la branche Energie d’Alstom couve-t-elleune affaire de conflit d’intérêts ? C’est ce qu’amène à penser le Canard enchaîné daté de mercredi. En cause : la nomination future de Steve Immelt à la tête d’Hogan Lovells, le cabinet d’avocats américain qui conseille l’entreprise française pour cette vente. Problème : le frère du futur patron n’est autre que Jeff Immelt, PDG de General Electric (GE), principale candidate au rachat d’Alstom. Des révélations qui ne suscitent pas vraiment d’émoi ni aux Etats-Unis, terre de General Electric, ni en Allemagne, d’où le concurrent Siemens vient.
GE veut Alstom. Tout commence fin avril alors que l’agence de presse spécialisée Bloomberg annonce l’intention de General Electric de racheter l’entreprise française Alstom. L’Américaine fait finalement une offre pour le secteur Energie d’Alstom à hauteur de 12,35 milliards d’euros. Fin avril, le conseil d’administration d’Alstom accepte l’offre de GE. Depuis, les deux entreprises sont en discussion pour fixer les modalités du rachat.
Pourquoi General Electric aurait intérêt à racheter Alstom ?
© Maxppp
Conseil, juge et partie ? Le fait est que dans toute procédure de fusions et d’acquisitions, les entreprises s’attachent les services de cabinets d’avocats spécialisés. L’objectif : pour la vendeuse comme pour l’acheteuse, être capable de régler les litiges juridiques, d’estimer la valeur et de contrôler les comptes de l’autre partie.
Alstom s’est donc logiquement attaché les services d’un cabinet très réputé, 11ème chiffre d’affaires mondial dans son secteur : Hogan Lovells. Ce dernier va changer de patron début juillet. Et c’est le nom de ce futur dirigeant qui pose question. Steve Immelt, collaborateur depuis 1989 dans le cabinet, est tout simplement le frère de Jeff Immelt, le patron de General Electric. Concrètement, celui qui conseille Alstom dans sa vente est donc le frère de celui qui veut acheter.
Encore un indice vers le rachat ? Difficile désormais de croire sur parole le patron d’Alstom, Patrice Kron, lorsqu’il assurait à Siemens, autre candidat au rachat, que la procédure se déroulerait en toute “transparenceâ€. Sa parole avait d’ailleurs déjà été fortement écornée alors que dans une lettre interne qu’il avait envoyé à ses collaborateurs, il vantait déjà largement l’intérêt de s’associer avec General Electric.
Alstom : en l'état, l'offre de General Electric ne séduit pas le gouvernement
Des amendes à payer... Mais alors pourquoi prendre le risque de rajouter du doute au doute en embauchant Hogan Lovells comme cabinet conseil ? Selon le Canard enchaîné, la réponse est peut-être à chercher parmi les futurs conseillers spéciaux de l’entreprise française. Parmi eux se trouve en effet une certaine Rachel Brandenburger, elle-même ancienne employée de l’équivalent du ministère de la Justice américain.
Sa présence dans l’équipe pourrait être plus qu’utile alors qu’Alstom est soupçonné de corruption sur le sol américain dans le cadre de contrats signés avec l’Indonésie, la Chine et l’Inde. Affaire qui, selon Bloomberg, pourrait aboutir à une amende record pour l’équipementier français.
Quoi qu’il arrive, l’entreprise française ne devrait néanmoins pas trop être embêtée. Selon les informations du Canard enchaîné, en cas de rachat, General Electric prendrait à sa charge l’ensemble de son contentieux.
Pas de reprise à l’étranger. Ces révélations ne semblent pas provoquer beaucoup de réaction dans les pays d’origine des entreprises candidates au rachat d’Alstom. Aux Etats-Unis, les médias majeurs ne se sont pas emparés de l’information. Outre-Rhin, seul Handelsblatt, le quotidien économique allemand, évoque l’affaire dans un court article.
La Région Midi-Pyrénées va reprendre ses paiements à la SNCF après les avoir suspendus pendant trois mois par exaspération devant les retards et suppressions de trains régionaux, a-t-elle annoncé mardi dans un communiqué.
Il s'agit cependant d'une "reprise des paiements sous conditions", a souligné la Région qui "restera particulièrement vigilante à la poursuite des efforts engagés par la SNCF pour améliorer la qualité du service sur le quart nord-est" du réseau TER de Midi-Pyrénées.
Elle appliquera en conséquence "une retenue de garantie sur le paiement des services du secteur en fonction des résultats atteints".
Le président socialiste du conseil régional, Martin Malvy, a donné acte à la compagnie ferroviaire des efforts entrepris depuis son coup de gueule de février, ayant abouti à "une amélioration progressive des taux de régularité des trains depuis le début de l'année".
Cette tendance ne répond "pas encore pleinement aux attentes", mais "marque une réelle prise en compte de la situation et un début de réponse qui devront être confirmés", a fait savoir M. Malvy, après la présentation à Toulouse de la première des rames Régiolis acquises par la Région.
Le conseil régional est l'autorité organisatrice du transport ferroviaire régional. La Région passe avec la SNCF une convention fixant les engagements des deux parties. La Région dit payer chaque jour 400.000 euros pour le train régional. C'est son poste budgétaire le plus lourd.
M. Malvy, excédé par les remontées de griefs des usagers, avait mis à exécution en février une vieille menace et suspendu les versements de la Région à la SNCF.
En décembre-janvier, les trains régionaux avaient par exemple accusé une régularité de seulement 70% dans le quart nord-est, dans un contexte certes particulier de gros travaux de modernisation et de signalisation.
Depuis février, "nous nous sommes beaucoup impliqués (...) nous sommes revenus à un niveau de régularité supérieur à ce qu'il était en 2013, c'est ce que réclamait le président" Malvy, a dit à l'AFP Alain Le Vern, directeur général en charge des régions à la SNCF.
Au cours des derniers jours, la SNCF est revenue en Midi-Pyrénées à une régularité de 90% (9 trains sur 10 à destination avec moins de cinq minutes de retard) en moyenne, peu ou prou conforme aux 90,8% contractualisés avec la Région, a-t-il assuré.
Le géant industriel français Alstom, en pleine incertitude sur le rachat de son pôle énergie, a publié mercredi 7 mai des résultats en baisse pour son exercice décalé 2013-2014 en raison d'un contexte économique difficile et a prévenu qu'il ne verserait pas de dividendes cette année. Le groupe explique :
« Les conditions macroéconomiques continuent à peser sur la performance commerciale d'Alstom avec un environnement toujours peu porteur dans les pays matures. Dans ce contexte économique, de nombreux grands projets d'infrastructure ont été décalés ».
Robert & Gilles CLARACO Fondateurs du portail de l’intermodalité intermodalite.com
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